Les souvenirs de la troupe

Souvenirs et archives de la troupe de l'Opéra Comique

Projections présentées par Benoît Duteurtre

En présence de Jean-Philippe Lafont, cette soirée animée par Benoît Duteurtre parcourt les étapes essentielles de sa carrière aux dimensions internationales et son plaisir de transmettre l’art lyrique aux jeunes générations. C’est aussi toute la vie de la troupe de l’Opéra Comique au XXe siècle qui renaît, en musique et en images, en archives et en live, à travers ses grandes heures et ses petites anecdotes.

Les artistes de la troupe de l’Opéra Comique furent parmi les premiers interprètes engagés par l’industrie cinématographique naissante, depuis les films muets inspirés des standards du répertoire jusqu’aux films musicaux profitant des succès de l’Opéra Comique. Aujourd’hui, l’Opéra Comique se propose d’explorer, avec la complicité de Benoît Duteurtre, la présence de l’art lyrique dans le 7e art. La programmation de ces séances permet de renouer avec l’émotion d’une projection cinématographique dans une salle de théâtre historique, et de découvrir des chefs d’oeuvre oubliés ou tout récemment restaurés.

Salle Favart
10 €

16 emplacements spécifiques sont accessibles aux personnes à mobilité réduite, sur réservation au guichet ou par téléphone. Ascenseur accessible par le 5 rue Favart.
01 70 23 01 44 | accessibilite@opera-comique.com

Tout public

La journée d’étude consacrée à « L’Opéra Comique au temps de la RTLN » et le Cinéfavart « Les Souvenirs de la troupe » changent de formule : ces deux rendez-vous fusionnent en une soirée unique consacrée au chant français. Le 22 novembre 2018, rendez-vous à 20h salle Favart pour suivre « Un baryton français dans l’opéra mondialisé : Jean-Philippe Lafont se raconte avec Benoît Duteurtre ».

L’Opéra Comique au temps de la RTLN (1939-1971)

22 novembre 2018

Depuis 2008, les colloques de l'Opéra Comique étudient l’art lyrique sous divers angles, en ralliant de nombreux partenaires de recherche. L’Opéra Comique figure au centre de ces sessions de travail, aux dimensions volontiers transdisciplinaires et internationales. À partir de 2018, deux axes de recherche sont ouverts : l’un sur la troupe de chant, dissoute en 1971, l’autre sur l’économie lyrique de l’institution qui, depuis 1762, associe financement public et ressources propres.